Yaoundé: Boissons du Cameroun redonne le sourire aux riverains
L’entreprise citoyenne poursuit sa caravane de santé « Mobile Care » avec un 4e acte réussi à Yaoundé-Nkoabang. Plus de 1 200 personnes consultées, 60 poches de sang collectées…les 13 et 14 mars derniers.
Depuis son lancement en juillet 2024 à Ekité – Edéa, la caravane de santé « Mobile Care » de Boissons du Cameroun continue de sillonner les routes du pays, apportant des soins médicaux indispensables aux populations rurales souvent démunies. Après Pouma et Kribi, la caravane a fait une halte à Nkoabang, dans le département de la Mefou et Afamba, région du Centre, les 13 et 14 mars derniers, pour la quatrième étape du programme. Ce projet ambitieux est un modèle d’action sociale qui ne cesse de croître, avec des résultats impressionnants à chaque étape.
Lors de l’étape de Nkoabang, plus de 1 200 personnes ont été prises en charge par les équipes médicales. En plus des consultations, 60 poches de sang ont été collectées et mises à la disposition des hôpitaux de la région, une aide précieuse pour les structures de santé locales. Ces chiffres viennent s’ajouter aux 1 700 patients déjà reçus lors des étapes précédentes à Pouma, Kribi, et Edéa. Dans le détail, à Kribi, 578 personnes ont pu consulter, et 43 poches de sang ont été collectées. À Pouma, plus de 500 personnes ont également été prises en charge.
Mais l’impact de « Mobile Care » ne se limite pas à la simple fourniture de soins médicaux. À chaque étape, des actions de sensibilisation sont également menées pour prévenir des maladies courantes telles que l’hypertension, le diabète, le paludisme et la fièvre typhoïde. Des vaccinations sont réalisées pour protéger les enfants contre les maladies infectieuses, une étape essentielle dans la prévention des épidémies. Les habitants des différentes régions accueillant la caravane ne cachent pas leur gratitude face à ces services gratuits et accessibles. Ils soulignent la différence que cela fait dans leur quotidien, surtout dans des zones où les infrastructures médicales sont souvent insuffisantes.
Vers une généralisation du programme
Lors de l’étape à Nkoabang, l’initiative « Mobile Care » a reçu le soutien de personnalités importantes, telles que Luc Magloire Mbarga Atangana, ministre du Commerce, et Stéphane Descazeaud, Directeur général de Boissons du Cameroun. Ce dernier a exprimé sa fierté de voir l’entreprise jouer un rôle clé dans l’amélioration des conditions de santé des Camerounais.
Luc Magloire Mbarga Atangana, lui-même originaire de la région, a salué cette initiative exceptionnelle, soulignant que c’est la première fois qu’il voie un tel déploiement pour améliorer l’accès aux soins. Le ministre a insisté sur l’importance des partenariats public-privé pour la santé, appelant d’autres entreprises à s’inspirer du modèle proposé par Boissons du Cameroun.
Après Nkoabang, la caravane poursuit son chemin à travers le pays. Les prochaines étapes sont prévues dans les régions du Nord, de l’Extrême-Nord, du Littoral, du Sud-Ouest, de l’Ouest, du Nord-Ouest, ainsi que dans l’Est et l’Adamaoua. Boissons du Cameroun ambitionne d’étendre le programme à l’ensemble du territoire, avec pour objectif de collecter 1 000 poches de sang et d’offrir des soins médicaux de qualité dans les zones les plus reculées du pays.
Au-delà de l’aspect d’urgence, « Mobile Care » s’inscrit dans une stratégie à long terme pour Boissons du Cameroun. L’entreprise citoyenne entend jouer un rôle clé dans l’amélioration du système de santé du pays, en apportant une réponse durable à un besoin criant dans les zones rurales : l’accès limité à des soins médicaux de qualité. Le programme de santé offre des consultations gratuites, des dépistages pour détecter des maladies comme l’hypertension, le diabète, le paludisme, et la fièvre typhoïde. Un volet essentiel du programme est la collecte de poches de sang. Cette initiative s’inscrit également dans la stratégie de responsabilité sociétale de l’entreprise, qui souhaite contribuer à la transformation du secteur de la santé au Cameroun en impliquant davantage le secteur privé.
H.T
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